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Après le baccalauréat, Anouk Duclos se tourna vers l'architecture, qu'elle étudia à l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Versailles, parce que c’est artistique et qu’au moins, le métier d’architecte, “ça paye bien”. Mais par la suite, pour coller davantage à ses centres d'intérêt primaires (théâtre, spectacle vivant, costumes), elle rejoint en 2021 le DPEA Scénographe de l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Nantes, où elle apprend les ficelles du métier de décorateur-scénographe.

Après avoir assisté les scénographes Anouk Dell’Aiera (Combats, Compagnie Théâtre Déplié) et Émilie Roy (Les Subversives, Compagnie Les Filles de Simone et Ma Honte et ma Joie, Compagnie Walter & Joséphine), elle travaille au sein du département accessoires du Théâtre La Colline, et développe une passion pour le bricolage, mais aussi pour le costume, qui colle avec ses passe-temps favoris : la couture et la recherche d'occasions d'exception.
En 2023, elle s’engage sur le projet de l’Intercontinental Slavery Museum de Port-Louis à l’Île Maurice, auprès de Hermance Roué, pour penser et construire la scénographie de l’exposition permanente. Après cinq mois sur le terrain à soulever du contreplaqué et faire hurler des moteurs électriques, Anouk est de retour sur Paris depuis décembre 2024 et enchaîne les courts-métrages, tout en pratiquant la musique électronique dans le groupe Naounteafakal et l’écriture poétique pour la revue Recettes & Coloriages.